Donato Di Campli, l’agent de Verratti : "Le Suning peut se permettre de recruter les meilleurs joueurs du monde !"

[Victor "Antony" Newman 63 400]

 

Paris – Voici en effet la déclaration faite par le représentant de l’héritier d’Andrea Pirlo à Telelombardia:

 

 

"Le Suning dispose une puissance économique extrêmement importante et il  peut révolutionner le Mercato européen. Le Suning peut se permettre d’engager Verratti, mais aussi tous les autres joueurs importants dans la constellation européenne et mondial du Football. Pour l’heure, elle doit régler la situation de l’Inter avec le Fair-Play-Financier, mais une fois que ce sera finalisé…."

 

"Mais l’argent ne te permet de tout gagner, il faut savoir aussi comment bien le dépenser et actuellement le Suning ne l’a pas encore fait. Il dépense des dizaines et des dizaines de millions pour des joueurs qui n’ont pas de temps de jeu. Verratti est un objet du désir de tant de club en Italie et à l’étranger, si vous voulez le recruter, il faudra venir avec une très belle offre à mettre sur la table et voir si le PSG acceptera de le vendre."

 

S’il y a des demandes de l’Italie ?

 

"A votre avis ? Oui, mais ce n’est pas vrai que le PSG le prends mal. Marco fait face à une profonde remise en question et je crois qu’il en verra le bout du tunnel bien tôt. L’argent ne suffit pas pour construire une équipe, mais il peut te venir en aide."

 

L’Inter?

 

"“Marco veut gagner, c’est un joueur de cette trempe. Il évalue les offres sur cette base, c’est important qu’il se sente important dans le club où il évoluera. Pour l’instant, c’est Paris."

 

La Juve ?

 

"Que Verratti aime la Juve,  c’est un secret de polichinelle, Verratti est apprécié par tous les fans, son maillot se vend comme des petits pains et c’est un objet de marketing pour le PSG. Si tu veux traiter avec Paris, tu feras face à une négociation très compliquée."

 

Si Verratti regrette d’avoir signé à Paris ?

 

"Je peux juste vous dire que Paris ne sera pas son seul club et qu’il vivra d’autres expériences."

 

 

©Antony Giles - Internazionale.fr