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Pioli dans toute son intimité: "Je vis l’Inter en tant que Tifoso!"


Victor "Antony" Newman

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Pioli dans toute son intimité:

 

Milan - Stefano Pioli s’est livré, il y a quelques minutes sur Inter Channel....

 

Internazionale.fr a le plaisir de vous rapporter les déclarations de notre "sauveur" et de ses prévisions pour l’année à venir

 

"Je vis l’Inter en tant que Tifoso. A présent, je suis la première personne à vivre à l’Inter . C’est quelque chose de très intense."

 

Pioli, votre père était un footballeur…

 

"C’était un petit joueur, et ensuite il a fait l’entraineur. On faisait les formations ensemble, même quand il m’entrainant quand j’avais 12-13 ans. Je devais prouver ma valeur hors du terrain et ensuite je savais si je pouvais joueur au football."

 

Votre dernière équipe en carrière était Colorno, situé à côté de Parme....

 

"J’y ai joué avec mon frère. Depuis mon aventure au Fiorenzuola, j’avais envie de terminer ma carrière en jouant avec lui. Ensuite, j’ai entrainé la primavera de Bologne et cela a été le point de départ de ma carrière en qualité d’entraineur. Je suis toujours resté une personne simple, heureuse, je suis satisfait de ce que je parviens à faire. En famille, nous avons une grande passion, on parle Calcio. Même ma fille, qui était alors toute petite venait me voir à tous mes matchs"

 

D’autres passions sportives ?

 

"Oui, le cyclisme. Je suis un cycliste amateur, et je m’octroi de temps en temps du temps pour être avec mes amis. J’aime aussi être seule, cela me donne de la sérénité, je me sens libre dans ma tête."

 

Le Basket aussi....

 

"Je le suis attentivement, je suis un très grand tifoso des Los Angeles Lakers. J’adore la NBA."

 

Ce que peut m’apporter le Basket dans le Calcio ?

 

"Des espaces réduits avec une obligation de faire certains déplacements. Certains aspect de ce sport sont bon à prendre."

 

Vous étiez un latéral …

 

"J’ai grandi en tant que milieu de terrain, à tel point que j’étais sûr que c’était ma position. A la fin de mon premier stage en équipe première, j’ai commis pas mal de fautes et tous les défenseurs de Parmes m’ont demandé de m’adapter: Avant de construire, il faut jouer plus avec les défenseurs."

 

"C’était un football qui me faisait beaucoup plaisir. Il était très simple à suivre si tu observais aussi ton adversaire. Avant, nous avions moins de connaissance au pont de vue tactique. Nous devions tous donner du nôtre"

 

L’année 2016 a plongé l’Inter dans les problèmes suite à la victoire de votre Lazio….sur l'Inter! Ensuite vous avez arrêté d’entrainer la Lazio....

 

"La première année, nous avions fait des résultats exceptionnels. Nous avions une équipe de qualité. La seconde année, il y a eu un grain de sable dans notre dynamique et les joueurs n’ont pas répondu aux hautes attentes que j’attendais d’eux. Nous nous étions battu toute une saison pour atteindre les préliminaires de la Champion's League. Nous sommes parvenu à perdre directement en phase préliminaire face au Sparta Prague, cela a conduit à la rupture de notre aventure commune"

 

Est-ce différent de partir en cours de saison ?

 

"Quand tu es remercié, ce n’est pas possible de rester serein, surtout dans une situation qui a découlé de résultats inattendus, alors que nous aurions pu faire quelque chose d’important. Je voulais procéder à quelques retouches. Ensuite, si tu ne sais pas être dans les temps, c’est évident que tu vas être confronté à certaines choses claires et concrète"

 

Tu étais à New-York lorsque tu as reçu un appel de "Ton Inter"....

 

"C’était tellement beau, une nouvelle fantastique. J’étais la première personne à être appelée, puis il m’a fallu attendre de rencontrer la Propriété et d’attendre la décision finale. Je crois que, dans un sens, j’étais dans une situation idéale. J’étais arrivé au bon moment. Je me sentais prêt j’arrivais à l’Inter dans le meilleur moment de ma carrière. J’étais honoré d’avoir aussi une telle responsabilité. Entrainer l’Inter, l’équipe que tu supportes, est gratifiant et je prouve ma valeur en travaillant avec sérieux et orgueil"

 

Mon rapport avec le Staff?

 

"Je l'ai fondé dès le secteur jeune de Bologne, j’y ai rencontré Matteo Osti, un préparateur athlétique. Je n’ai jamais choisi mes collaborateurs en fonctions de mes liens d’amitiés. Je les ai choisi car je voulais des personnes sérieuses, qui ont les mêmes idées que moi, des personnes en  qui je peux me fier énormément et auquel j’accorde l’espace qu’il mérite. Parmi eux, il y a aussi mon fils et Walter, qui est une figure qui t’aide et qui te soutien, c’est une collaboration positive."

 

2017, l’année de l’Inter ?

 

"Je suis d’accord, cela ne fait aucun doute, l’équipe est capable de s’améliorer dès le mercato de janvier, pour parvenir à systématiser certaines choses, qui doivent encore s’améliorer. Mais par-dessus tout, le travail que nous faisons tous les jours et le fait de ne pas disputer l’Europa League, te permet de travailler au quotidien sur nos défaillances. Je crois que l’équipe est capable de s’améliorer encore et d’être compétitive."

 

Vous avez travaillé en Espagne, à Marbella, suivi de l’Udinese, Chievo, Palermo, Pescara… vous manque-t ’il un peu cette culture de la gagne ?

 

"C’est un fait et c’est ainsi, mais la victoire t’apporte de la confiance. Cela peut être un signe annonciateur que d’avoir la force de réagir dans les moments difficiles. Le mois de janvier est important. Nous irons à Marbella pour travailler et être tous ensemble, pour faire plus ample connaissance. Le mois de janvier sera un mois où il faudra tout enchainer, et nous sommes dans l’obligations de remonter au classement et d’engranger le maximum de points."

 

Pensez-vous finir dans le Top 3 ?

 

"Seulement si on y croit, si l’équipe sur le terrain se donne à fond. Nous sommes mal classés et on ne peut pas se permettre de faire des pauses, nous avons besoin de penser à rempoter chaque match, c’est ancré dans nos valeurs. Nous ne pouvons plus nous permettre d’autre contre-performance. Ensuite nous ferons le point, mais avec la mentalité dese donner à fond sur le terrain, on peut y arriver."

 

"Je souhaite le meilleur pour 2017 à l’inter, une année emplie de sérénité, de santé et comblée de succès."

 

 

©Antony Gilles - Internazionale.fr

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