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Coupe d’Italie, Naples 1-0 Inter: "Le Roi Higuaín s’offre l’Inter!"


Victor "Antony" Newman

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Coupe d’Italie, Naples 1-0 Inter:

 

AFP - En quart de finale de Coupe d'Italie, le Napoli s'est imposé face à l'Inter (1-0) et rejoint la Lazio en demi-finale. Un succès qui porte encore la marque d'Higuaín, décisif dans les derniers instants.

 

La bataille a été intense et très longtemps indécise, mais la balance se devait finalement de pencher d'un côté. Au bout du temps additionnel, Gonzalo Higuaín, lancé en profondeur sur une touche, sème Ranocchia et met un terme au suspense en enroulant parfaitement son ballon au fond des filets de Carrizo.

 

L'Inter n'a même pas le temps d'espérer se relever, Pipita a encore frappé. Avec du rythme, des occasions et une belle ambiance, la joute de Coupe d'Italie s'est montrée bien plus agréable qu'elle n'y paraissait. Le Napoli obtient ainsi sa qualification en demi-finale où il retrouvera la Lazio. L'Inter est cruellement défaite, mais la troupe de Mancini a montré des signes de vie.

 

 

Le roi Higuaín surgit

 

 

Chaque équipe en quête de succès recherche les certitudes tel le Saint-Graal. Si le Napoli en a bien une, elle se nomme indéniablement Gonzalo Higuaín. Au pays de San Gennaro, l'attaquant argentin a bâti son royaume à la grâce de ses buts relayés au peuple par les envolées lyriques du speaker napolitain. Pointe de l'épée azzurra, l'ancien Madrilène a un ordre à faire respecter, et même si la tâche est compliquée par les frontières imposées par Carizzo (6', 8', 29'), la coupe saillante de Damoclès n'est pas loin.

 

Le fidèle marquis Hamšík se charge lui de servir son roi, sans oublier de dépasser ses fonctions quand l'occasion se présente (28', 34'). Quant au tiers état, il répond honorablement présent à l'image de Gargano toujours aussi batailleur ou de Koulibaly volontaire dans un rôle d'écuyer inhabituel sur le flanc droit. Le soutien de 50 000 âmes, présentes en nombre au domaine du San Paolo, grâce à la générosité des hauts décisionnaires pour les habitués des lieux - les abonnés ont bénéficié de billets à 1,20 € - se fait également sentir.

 

Le stratège Benítez doit quand même songer à des rectifications du plan de bataille pour redonner de l'allant aux siens et trouver la faille. Mertens fait ainsi son apparition à la place de Callejón de même que l'ancien joyau du seigneur génois, Gabbiadini pour Hamšík et Ghoulam pour De Guzmán. Mais la solution finale revient quand même au roi Higuaín qui surgit au bout du temps additionnel pour planter sa lame.

 

 

L'Inter punie

 

 

Dans le camp d'en face, un homme est habitué à prendre du terrain en terres ennemies. Mauro Icardi a ainsi une réputation à honorer, mais il ne parvient cette fois pas à punir un compatriote, en l'occurrence Andújar dont il ne trouve que le poteau (13'). Moins sûre de ses forces, la troupe nerazzurra n'en est pas moins tout aussi vaillante. L'étonnant chevalier Brosović est là pour l'illustrer avec un combat de tous les instants.

 

Le régent Mancini peut déjà féliciter ses hommes d'avoir solidement tenu leurs lignes jusqu'à la courte trêve décrétée par le coup de sifflet arbitral de M. Massa. Même pas effrayés par la perte récente de plusieurs batailles successives, les Intéristes reprennent d'ailleurs sur les mêmes bases de l'effort et du sacrifice en imposant une pression sur les bases adverses.

 

Les contre-offensives napolitaines doivent toutefois être surveillées avec forte attention. Hernanes et Puskás prennent bien leurs chances, mais leurs assauts ne trouvent pas la cible ou sont déviés (60', 63', 68'). La revue des effectifs a également lieu avec Guarín et Dodô qui remplacent respectivement Hernanes et Santon.

 

L'Inter tient toujours sereinement son rang et se dirige vers trente minutes de bataille en rab, sauf qu'elle oublie le roi Higuaín. Un oubli qui ne pardonne malheureusement pas.

 

©Eric Marinelli (Sofoot.com)

 

 

TABLEAU RECAPITULATIF

 

 

Napoli 1-0 Inter

But(s): Higuain (93')

 

 

Inter: 30 Carrizo; 55 Nagatomo, 23 Ranocchia, 5 Juan Jesus, 21 Santon (86' Dodò); 18 Medel, 77 Brozovic, 88 Hernanes (74' Guarin); 91 Shaqiri; 9 Icardi, 28 Puscas.

Sur le banc: 1 Handanovic, 46 Berni, 8 Palacio, 10 Kovacic, 11 Podolski, 15 Vidic, 17 Kuzmanovic, 20 Obi, 54 Donkor, 97 Bonazzoli. Entraineur: Roberto Mancini.

 

 

Napoli: 45 Andujar; 26 Koulibaly, 33 Albiol, 5 Britos, 3 Strinic; 77 Gargano, 19 Lopez; 7 Callejon (73' Mertens), 17 Hamsik (76' Gabbiadini), 6 De Guzman (84' Ghoulam); 9 Higuain.

Sur le banc: 1 Rafael, 15 Colombo, 8 Jorginho, 11 Maggio, 44 Uvini, 88 Inler, 91 Zapata.

Entraineur: Rafael Benitez.

 

 

Averti(s): Shaqiri (23'), Juan Jesus (39'), Medel (58'), Gargano (57' ), Puscas (64'), Ranocchia (91')

Expulsé(s): néant

 

Arrêts de jeu: 1' et 4' 

Arbitre: Massa

Assistants: Giallatini, Passeri

4ème arbitre: Banti

 

Antony GIlles

 

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Nan mais attendez le plus choquant dans les changements (plutôt non changements) de Mancini c'est Puscas ????????????!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

 

Le pelo il a des crampes au bout de la 65ème min et Mancio le laisse sur le terrain, après vers la 80 ème de nouveau des crampes et toujours aucune réaction du coach... Incroyable !!!

C'est pas comme si on avait personne sur le banc pour le remplacer (Podolski, Palacio, Bonazzoli..)

 

Ranocchia capitaine et titulaire c'est passer d'une Ferrari (Javier) à une Fiat Panda (Ranochiasse)...

 

Impatient de voir la réaction du public de Meazza concernant Guarin, Icardi (qui n'a pas fait mauvais match hier soir) et ce qui nous sert de capitaine alias "Zizou de la défense" Andrea Ranocchia.

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Je ne comprends pas pourquoi il fait débuter Puscas sur ce match, face à un tel adversaire, dans un tel stade, quand tu as à côté Bonazzoli qui a déjà une petite expérience (relativement bonne en plus ) du haut niveau, sans parler de Podolski. Puis Brozovic qui crache ses poumons assez tôt en 2nde période, pourtant c'est Hernanès qui sort. Et puis Santon.

 

On perd ce match sur des broutilles. Je ne sais pas si on méritait de gagner, mais je suis sûr à 100% qu'avec de meilleurs choix de joueurs, on aurait pu l'emporter.

 

Franchement encore une fois Mancini s'est loupé dans sa gestion du match. Ça en fait déjà pas mal là.

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Steph : d'accord avec toi pour Puscas, il se retrouve face à une bête de physique Koulibaly, pour une première titularisation, c'est dur pour lui. Tout le match il s'est fait bouffé physiquement, il revenait à chaque fois en arrière !

 

Puis changer ses latéraux en fin de match quand on tient bon ... :phear:

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Pour les changements, Santon ne pouvait pas assurer 90 minutes car il avait pas 90 minutes.

 

Le seule changement qui me pose problème, c'est Puscas qui devait sortir plus tot.

 

 

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Quoique ma première auto était une Uno et elle tenait la route :bigrin:
Je te crois pas, c'était pas une Uno :phear:

 

 

Perdre à la 94' sans montrer grand chose, encore une fois on a ce qu'on mérite -_-

1.20€, doivent être heureux tiens les supporters napolitains qui sont restés jusqu'au bout. C'po chère la dose d'émotions...

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Puscas je suis très content de l'avoir vu moi. Surtout titulaire et dans un match important ça lui montre qu'on le prend en considération.

@Sky : Shaqiri jouait sur l'aile droite.

 

On s'est fait bouger dès qu'on a remplacé Hernanes par Guarin, en espérant que le Brésilien reprenne sa place de titulaire derrière Kovacic, et dès la rentrée de Mertens qui a été le Napolitain qui nous a posé le plus de problème.

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Pour les changements, Santon ne pouvait pas assurer 90 minutes car il avait pas 90 minutes.

 

Le seule changement qui me pose problème, c'est Puscas qui devait sortir plus tot.

Idem, Santon n'a pas joué depuis un moment c'est pas ce changement qui me dérange.

C'est le fait de voir à deux reprises Puscas se plaindre de crampes et que Mancio ne réagisse pas...

Il attendait quoi bordel ?? Qu'il se blesse ??

 

Pour en revenir à notre petit jeune, je suis assez content de sa performance.

Certes il s'est fait bouger par Coulibaly et il a eu pas mal de déchèts mais il a aussi sortit une belle frappe détourner par le gardien de Napoli et il a fait quelques belles remises...

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aaah, ce grand échalas de ranno. cela fait prés de 4 ans que je me dit qu'il n'a pas le niveau de notre équipe. ce n'est pas plus une question de technique que de grinta d’après moi. il semble ne pas avoir la force de caractère qu'il faut pour jouer avec nous et surtout a son poste. cette agressivité q'avait Matrix. soit on naît avec soit on essaye de s’améliorer....dommage a la 93 emme c'est dure

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