La réponse se retrouve, peut-être dans l'analyse réalisée par Tuttosport. Dans la course d'obstacles que représente le Mercato interiste, on retrouve une nouvelle problématique : L'impossibilité de dépenser des fonds en Italie.
Le club ne dispose pas de crédit pour opérer sur le marché intérieur. Pour résoudre cette problématique, il existe la possibilité de couvrir une dépense en déposant une garantie bancaire, une pratique qui, depuis l'époque de Thohir, n'a plus été adoptée, car considérée comme gênante par la Propriété.
En effet, ce type de crédit permet d'opérer sur le marché intérieur et non extérieur, seules les transactions réalisées en Italie et entre club italiens peuvent avoir lieu. Pour donner un exemple, les liquidités accumulées lors de la vente de Lorenzo Pirola à Salernitana ont été immédiatement utilisées pour racheter Acerbi à la Lazio. Le problème se pose aussi si l'homologue de l'Inter a l'intention de monétiser la vente d'un joueur (en n'acceptant pas d'autres formules que celle du transfert pur et simple).
Mais cette situation ne se répercute pas pour l'étranger. C'est également pour cette raison, en prenant l'exemple de Carlos Augusto, que l'Inter a rouvert le dossier correspondant Mitchel Bakker, en partance du Bayer Leverkusen.
®Antony Gilles - Internazionale.fr
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