Internazionale.fr a le plaisir de vous proposer, l’analyse toujours juste et audacieuse, de Daniele Mari.
TITULAIRES
- HANDANOVIC 6,5: il contre le penalty d’Ibrahimovic, mais il est malchanceux sur le revoir
- D’AMBROSIO 4,5: Leao lui a fait vivre une nuit cauchemardesque. Il a fait des efforts, mais s’est fait constamment sauter
- DE VRIJ 5,5: Il a tenté de tenir sur pied une défense que l’ont peu qualifier d’expérimentale. C’était difficile
- KOLAROV 4: Des gouffres sur son côté. Les joueurs du Milan ont fait de lui ce qu’ils voulaient. La faute sur Ibra est de trop pour un joueur avec une telle expérience
- HAKIMI 6,5: Il a remporté son duel avec Theo Hernandez, surtout en première période, mais il s’est dévoré l’égalisation
- BARELLA 6,5: Le meilleur sur le terrain dans la durée. Il a pressé partout, s’est imposé et à récupéré des ballons. Il était partout
- BROZOVIC 4: Irregardable, à la limite de l’irritation. Sorti du terrain par désespoir : Celui de Conte et des Tifosi de l’Inter
- VIDAL 5,5: Il est paru inhabituellement timide au milieu du terrain. Il a tenté e faire mieux avec les minutes qui passaient, mais au final, sa performance n’en était pas meilleure. Il paye le prix de l’équipe nationale
- PERISIC 4,5: Avec Kolarov, il dessine un circuit sur l’aile gauche surnaturel digne d’un fil de Dario Argento : "Horreur pour l’Inter, fête pour le Milan." Il ne revenait quasiment jamais
- LUKAKU 6,5: Il vaut bien plus que la moitié de l’Inter. Déjà après une heure, le plan était de servir Lukaku et d’espérer quelque chose. Et lui, il invente toujours quelque chose, mais il ne peut pas toujours tout faire
- LAUTARO 6: Une première période à 7, une seconde période à 5, soit un moyenne qui génère une suffisance. Marqué à la reprise par la fatigue ses coups brillant de la première mi-temps reste un souvenir
Banc
- ERIKSEN 5: Monté au jeu pour un irregardable Brozovic, il ne sonne pas la charge. Tout l’opposé
- SANCHEZ N-C: Le Joker final, mais cette fois, il n’a pas servi.
Entraîneur
- CONTE 5: Les absences lui donne une circonstance atténuante, mais l’équipe, avec un milieu de terrain en théorie composé de muscles et de courses, a souffert de façon sanglante. Le Milan allait au but en trois passes. La première période était juste un désastre. Il n’y avait que très peu de grinta contienne aujourd’hui
Validez-vous son analyse ?
®Antony Gilles - Internazionale.fr
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