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Hommage aux Martyrs du Ballon Rond


Wannou

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Je propose de faire une rubrique mortuaire (je sais c'est pas joyeux ) mais pour rendre hommage aux joueur qui decede qu'il soit de l'inter ou d'un autre club .

 

Décès de Krzysztof Nowak

L'ancien milieu de terrain de Wolfsburg, le Polonais Krzysztof Nowak, est décédé dans la nuit de mercredi 26/05/2005 à jeudi à l'âge de 29 ans. Ancien international (10 sélections), il avait dû mettre un terme à sa carrière le 27 février 2002 pour soigner une sclérose latérale amyotrophique (SLA), également appelée « maladie de Charcot », une affection dégénérative incurable.

 

Pluskal n'est plus

Svatopluk Pluskal, milieu de terrain de l'équipe de Tchécoslovaquie finaliste de la Coupe du monde 1962, est décédé dans la nuit de samedi à dimanche 30 au 1/05/2005 à Usti-nad-Labem (nord-ouest) à l'âge de 74 ans, des suites d'une longue maladie, a annoncé dimanche l'agence CTK.

Né le 28 octobre 1930 à Zlin (est), Pluskal totalisait 56 sélections en équipe de Tchécoslovaquie entre 1952 et 1965. Renommé pour ses glissades inimitables et son esprit de combativité, Pluskal a participé à trois Coupes du monde (1954, 1958, 1962) et a également terminé troisième du Championnat d'Europe 1960.

Dans le système 4-2-4 qui régnait sur les années 1950 et 1960, Svatopluk Pluskal formait un duo inséparable au milieu de terrain avec Josef Masopust, ballon d'Or 1962, son coéquipier au Dukla Prague.

Sa carrière d'entraîneur l'a notamment conduit dans les années 1970 aux Bohemians Prague, à l'Enosis Neon Paralimni (Chypre) et au Skoda Pilsen.

Victime d'une attaque cérébrale en février 2004, Svatopluk Pluskal s'est éteint dans un foyer de retraités où il vivait ses dernières années, cloué dans son lit.

 

Décès de Joop van Stoffelen

L'ancien international néerlandais Joop van Stoffelen est décédé, dimanche 22/06/2005 à Lelystad, à l'âge de 84 ans. Après dix années passées à l'Ajax Amsterdam avant la seconde guerre mondiale, il avait joué en France, au Racing Club de Paris et à Toulouse. Il a porté le maillot des Pays-Bas entre 1947 et 1950.

 

Disparition d'Oscar Muller

L'ancien joueur du FC Nantes Oscar Muller est décédé, vendredi 19 aout à l'hôpital de Saint-Pierre de la Réunion, après avoir été renversé par un motocycliste. L'ancien milieu de terrain (ou attaquant) franco-argentin était plongé dans un profond coma depuis cet accident, provoqué par un pilote en état d'ivresse.

Né le 28 juillet 1957 à Rosario, Oscar Muller était le fils de Ramon Muller, lui même ancien joueur nantais. Il avait débuté en première division avec le FCNA en 1975, mais a aussi joué pour Saint-Brieuc et Rennes. En dix ans passés avec les Canaris, il a remporté trois titres de champion (1977, 1980, 1983) et une Coupe de France (1979). Oscar Muller a disputé 213 matches de Ligue 1 et inscrit 29 buts. Depuis 1990, il était installé à La Réunion, où il a entraîné différents clubs au terme de sa carrière professionnelle

 

Décès de Stéphane Bruey

Stéphane Bruey, l'ancien attaquant international français, est décédé à l'âge de 73 ans, a-t-on appris mercredi 31 aout auprès de l'Olympique lyonnais, dont il a porté les couleurs de 1964 à 1966. Retenu à quatre reprises en équipe de France (1 but), Bruey avait fait partie de la liste des 22 joueurs sélectionnés pour la Coupe du Monde 1958 en Suède. Il avait joué à Angers, Monaco, Racing Paris et Lyon.

 

Décès de Franco Scoglio

L'ancien entraîneur de la Genoa et de la sélection tunisienne est mort lundi suite à un malaise intervenu alors qu'il participait à un débat télévisé. Agé de 64 ans, Fraco Scoglio était en direct par téléphone avec le president de la Genoa Enrico Preziosi. Le programme a été interrompu quand son malaise est devenu évident et que les secours ont dû être appelés. Les causes du décès ne sont pas connues. Durant sa carrière, il a atteint les demi-finales de la Coupe d'Afrique des nations avec la Tunisie en 2000.

 

Décès de Carlos Gomes

L'ancien gardien de but international portugais Carlos Gomes, quatre fois champion du Portugal avec le Sporting dans les années 50, est décédé des suites d'une longue maladie à l'âge de 73 ans lundi 17 octobre. Il a été international à 18 reprises entre 1953 et 1958 avant d'émigrer dans le championnat espagnol, à Grenade puis Oviedo, pour fuir la dictature dans son pays.

 

Décès de Sommerlynck

L'ancien joueur lillois Marceau Sommerlynck est décédé lundi 14 novembre à l'âge de 83 ans. Ce joueur polyvalent, milieu ou défenseur, est entré dans l'histoire en devenant le premier à remporter cinq fois la Coupe de France, en 1946, 1947, 1948, 1953 et 1955, un record égalé depuis par Dominique Bathenay et Alain Roche, même s'ils n'eurent pas un rôle aussi important que le Nordiste au cours de leur cinq finales remportées.

Né à Lille, Sommerlynck fut l'un des joueurs inamovibles de l'équipe lilloise qui domina le football français au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, aux côtés de Da Rui, Baratte ou Vincent, même s'il ne fut jamais lui-même international. Il comptait aussi, toujours avec Lille, deux titres de champion de France (1946 et 1954

 

George Best, décédé vendredi 25 novembre à 59 ans,George Best est décédé

George Best, l'ancienne vedette de Manchester United, est mort vendredi à Londres, après un long combat contre l'alcool, a annoncé un communiqué de l'équipe médicale qui l'a soigné depuis près de deux mois. «M. Best est mort après un long et vaillant combat», a déclaré l'hôpital Cromwell de Londres dans un communiqué. «En ce moment, toutes les pensées du personnel de l'hôpital vont à la famille de M. Best», a poursuivi le communiqué.

L'ancien international nord-irlandais, 59 ans, est décédé d'une infection pulmonaire, après avoir été hospitalisé le 1er octobre à l'hôpital Cromwell pour une grippe, puis une infection rénale. Comparé aux plus grands, comme le Brésilien Pelé ou l'Argentin Diego Maradona, Best avait aussi été considéré comme le premier joueur «super-star» et sa célébrité dans les années 60 lui avait même gagné le surnom de «cinquième Beatles».

George Best a passé ses dernières heures veillé par son fils, Calum, 24 ans, et son père Dickie, 87 ans. Alcoolique depuis des années, il avait reçu une greffe du foie en 2002 mais son refus d'abandonner la boisson l'avait condamné et ses dernières années n'avaient été qu'une longue descente aux enfers. Né le 22 mai 1946 à Belfast, en Irlande du Nord, «Geordie» ou encore «Bestie», comme le surnommaient les tabloïdes britanniques, avait offert à ses supporteurs des instants de football inoubliables, comme ce 21 octobre 1967 contre l'Ecosse, lorsque les spectateurs le désignent comme «le meilleur» («the best», en anglais).

«J'ai gaspillé le reste»

Sélectionné 37 fois en équipe nationale d'Irlande du Nord entre 1964 et 1977, George Best n'a jamais disputé un match de Coupe du monde, ne réussissant pas, malgré son talent, à sortir de l'anonymat la modeste sélection de son pays.

Pendant ses onze années passées à Manchester United, avec lequel il a remporté le Championnat d'Angleterre en 1965 et 1967, George Best a écrit quelques-unes des plus belles pages du football, au même titre que Bobby Charlton ou Dennis Law, ses compères dans la «dream team» dirigée par le mythique Matt Busby. Cette formidable armada remporte la Coupe d'Europe des clubs champions, une première pour un club anglais, le 29 mai 1968, contre le Benfica de Lisbonne du grand Eusebio. C'est un «coup» de Best en prolongation qui envoie les «Diables rouges» vers le sacre européen (4-1).

1968 est d'ailleurs l'année Best. Outre ce trophée, il est élu «Ballon d'Or Européen». Avec ses longs cheveux bruns, il est élevé au rang de vedette, voire d'idole. Et on lui prête des liaisons avec plusieurs miss Monde. «J'ai dépensé beaucoup d'argent pour la «picole», les jolies filles et les voitures rapides. J'ai gaspillé le reste», avait-il un jour déclaré. L'homme est sympathique, attirant, il aime aussi la vie nocturne. Mais son caractère rebelle et son faible pour l'alcool le perdent. Il quitte Manchester à 28 ans et entame une longue errance de club en club, d'Ecosse aux Etats-Unis en passant par l'Irlande.

Noël en prison

On ne parle plus alors de lui que dans la rubrique des faits divers. En 1994, il passe Noël en prison, après avoir été condamné pour conduite en état d'ivresse. En mars 2000, première sérieuse alerte de santé : le foie est touché. On craint pour sa vie. En février 2001, il est hospitalisé pour une pneumonie. Le 30 juillet 2002, il subit une greffe du foie. En dépit des avertissements des médecins, il se remet pourtant à boire et en 2003, sa deuxième épouse Alex, de 26 ans sa cadette, le quitte. Un an plus tard, en 2004, le divorce est officiel.

George Best avait été hospitalisé début octobre en soins intensifs à l'hôpital Cromwell de Londres après une infection pulmonaire. Son état n'a cessé depuis se dégrader. «George n'a jamais pu dépasser son problème de boisson mais il m'a dit «j'espère que mon état désespéré pourra servir d'avertissement aux autres»», avait encore commenté son agent, Phil Hughes, il y a quelques jours. Il est mort vendredi «après un long et très vaillant combat» a indiqué l'hôpital dans un court communiqué.

 

Décès de David Di Tommaso

David Di Tommaso, le défenseur d'Utrecht, est décédé dans son sommeil lundi soir à l'âge de 26 ans. D'après la presse néerlandaise, il aurait succombé à une attaque cardiaque. Le joueur avait été formé à Monaco avant de partir pour Sedan. Il avait ensuite rejoint les Pays-Bas et le FC Utrecht en juin 2004 pour y disputer 31 matches l'an passé et encore 13 cette saison.

 

Décès de Paul Le Hesran

 

Paul Le Hesran, ancien président de la Ligue de Bretagne de football (1988-2003), ancien secrétaire général de la Fédération française (1995-2003) et ancien membre du Conseil fédéral (1992-2003), est décédé jeudi matin à l'âge de 71 ans, a indiqué la FFF dans un communiqué. Les obsèques de Paul Le Hesran se dérouleront en l'Eglise de Plérin (Côtes-d'Armor) samedi 10 décembre à 14H30.

 

Décès du Hongrois Szusza

 

Ferenc Szusza, l'un des plus grands buteurs du football hongrois, est décédé à 83 ans. Szusza a marqué 393 buts en 463 matches avec le club d'Ujpest et a remporté quatre titres de champion de Hongrie en 19 ans de carrière, entre 1941 et 1960. En équipe nationale, il a inscrit 18 buts en 24 sélections.

Comme entraîneur, Szusza avait conduit l'équipe polonaise de Gornik Zabrze au doublé Coupe-Championnat pendant la saison 1970-1971, avant d'émigrer en Espagne, où il avait entraîné le Betis Séville pendant cinq ans, remportant la Coupe du Roi en 1977. Il avait terminé sa carrière d'entraîneur à l'Atletico Madrid en 1979.

 

Ferenc Puskas est décédé

 

L'attitude d'un très grand.

 

Légende du football hongrois, Ferenc Puskas est mort. L'information a été annoncée vendredi peu avant 9 heures par l'agence hongroise de presse. Âgé de 79 ans et souffrant de la maladie d'Alzheimer, il avait été admis mercredi aux soins intensifs d'un hôpital de Budapest. Le "Major galopant" est considéré comme l'un des meilleurs joueurs de tous les temps, même si la relative rareté des images filmées à l'époque de sa grandeur, entre la fin des années 40 et les années 60, n'est pas faite pour rendre justice à l'incroyable talent du leader technique de la mythique équipe de Hongrie.

L'itinéraire de Puskas épouse celle de cette première "Dream Team" de l'après-guerre, celle qui fut sacrée championne olympique en 1952, vainqueur à plate couture de l'Angleterre à Wembley en 1953 (6-3), et finaliste d'une Coupe du monde qui lui était promise, en 1954. La symphonie hongroise est inachevée depuis le "miracle de Berne" (victoire de la RFA 3-2), qui aura empêché Ferenc Puskas de remporter un titre mondial, à l'inverse de ses plus illustres successeurs, Beckenbauer, Maradona ou Zidane. Il avait incontestablement leur rayonnement. Les statistiques de Ferenc Puskas laissent rêveur : il a inscrit 83 buts en 84 sélections pour l'équipe de Hongrie de 1945 à 1956, 511 buts en 533 matches de championnat (Hongrie et Espagne) et 41 buts en 36 matches de Coupe d'Europe avec le Real Madrid. Il a notamment inscrit quatre des sept buts de la victoire (7-3 !) des Madrilènes en finale de la Coupe des clubs champions en 1960 contre l'Eintracht Francfort (les trois autres avaient été marqués par Alfredo Di Stefano).

Particularité de sa carrière, Puskas a porté le maillot de deux équipes nationales. Outre ses nombreuses sélections en Hongrie, il a également disputé quatre rencontres avec l'Espagne. Il avait quitté la Hongrie après les événements de Budapest de 1956 (invasion par les chars soviétiques). Puskas a également eu une carrière d'entraîneur. Il a disputé (et perdu) la finale 1971 de la Coupe d'Europe des clubs champions avec le Panathinaïkos face à l'Ajax d'Amsterdam. Un jour de 1996, lors d'un match de Coupe des coupes diputé par Nîmes à Budapest contre le Kispest-Honvéd FC, le retraité Puskas avait été interviewé quelques minutes sur TF1. Il assistait au match, éternel amateur de football. Il y eut quelques blancs à l'antenne. Thierry Rolland, l'homme qui en a vu d'autres, pleurait, bouleversé par cette rencontre inattendue. Pour toute une génération, Puskas était une légende vivante. Il est maintenant une légende éternelle.

Source l'équipe

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Décès de David Di Tommaso  

David Di Tommaso, le défenseur d'Utrecht, est décédé dans son sommeil lundi soir à l'âge de 26 ans. D'après la presse néerlandaise, il aurait succombé à une attaque cardiaque. Le joueur avait été formé à Monaco avant de partir pour Sedan. Il avait ensuite rejoint les Pays-Bas et le FC Utrecht en juin 2004 pour y disputer 31 matches l'an passé et encore 13 cette saison.  

 

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En hommage à David Di Tommaso, le FC Utrecht (1re div. néerlandaise), indique que son maillot floqué du n°4 ne sera plus jamais attribué au sein du club batave. Sedan, ancien club français du joueur a pris la même initiative avec le n°29.

 

Les dirigeants, joueurs et supporters du FC Utrecht ont rendu hommage au footballeur français, décédé dans son sommeil mardi 29 novembre à son domicile. Environ 14.000 sympathisants se sont pressés dans les tribunes du stade de Galgenwaard à Utrecht où s'est déroulée une cérémonie en mémoire du défenseur mort à 26 ans. Formé à l'AS Monaco, Di Tommaso avait été élu "joueur de l'année du FC Utrecht" la saison passée, sa première aux Pays-Bas.

 

Source: Sport.fr

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  • 1 mois plus tard...
  • 6 mois plus tard...

Marc-Vivien Foé (1er mai 1975 - 26 juin 2003) était un footballeur camerounais.

 

 

 

Le 26 juin 2003, au cours de la Coupe des Confédérations de la FIFA, Foé s'est écroulé sur le terrain du Stade de Gerland de Lyon durant un match contre la Colombie. Transporté à l'hôpital, il décéda au bout de 30 minutes. Une autopsie a déterminé que la mort avait pour origine une crise cardiaque consécutive à une malformation congénitale (hypertrophie cardiaque). Ce décès brusque provoqua beaucoup d'émotion chez les Camerounais mais également chez leurs adversaires en finale, la France, dont de nombreux joueurs connaissaient et appréciaient "Marco".

 

Il y avait plusieurs voies de rendre hommage à Foé. Le club anglais Manchester City F.C. a retiré son numéro 23, selon le désir du gérant Kevin Keegan, l'Olympique Lyonnais ainsi que le RC Lens ont retiré quant à eux le numéro 17 de leurs effectifs respectifs. D'autres hommages incluent le baptême d'une partie du stade City of Manchester Stadium à son nom. Au stade bollaert , une avenue porte son nom , et un mur est peint, qui représente lui et l'afrique(lion, arbre...) et il est noté "un lion ne meurt jamais il se repose".

 

 

Ca m'a boulversé ce joueur surtout quand tu vois le match à la tv et que tu vois sa mort en direct. :(

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  • 3 mois plus tard...

C'est vrai c'est la Légende Hongroise, à lui seul à donner l'envie aux gamins de jouer au football en Hongrie. Filkor lui avait rendu un hommage dans la semaine lors d'une brève interview. Il a fait la gloire du Real Madrid et il rejoint ainsi notre Cipe :cry:

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Les hommages:

 

Le premier ministre Ferenc Gyurcsany a salué «le Hongrois le plus illustre du XXe siècle.» Selon un porte-parole de la famille, «les premiers à avoir téléphoné pour exprimer leurs condoléances ont été les gens du Real Madrid, ceux de la Fédération Hongroise de foot et bien sûr les amis innombrables du monde entier».

 

 

 

Les dirigeants du Real Madrid saluent un «talent footballistique inégalable». «Le nom de Puskas est associé dans l'imaginaire collectif du madridisme aux grand succès nationaux et internationaux du Real Madrid, et en particulier la Coupe d'Europe», écrit le club dans un communiqué diffusé vendredi matin sur son site Internet. «En déplorant douloureusement sa perte, le Real Madrid veut expressément faire part de ses remerciements à quelqu'un qui a tant fait pour le club, son admiration pour un talent footballistique inégalable et son respect pour une personne fondamentalement bonne», conclut le commmuniqué.

 

Alfredo Di Stefano, qui forma avec Puskas une paire de redoutables buteurs au Real, a «perdu un ami» qui avait, a-t-il rappelé, presque le même âge que lui (Di Stephano est né trois mois après Puskas, en 1927). «La dernière fois que je l'ai vu, c'était il y a deux ans quand j'étais allé avec d'autres vétérans à Budapest pour participer à une célébration qui lui était dédiée». Raymond Kopa, qui a également joué avec Puskas sous le maillot du Real, a salué Puskas comme «un des meilleurs joueurs du monde, toutes époques confondues». «C'était mon idole», a dit Kopa. Pour Just Fontaine, meilleur buteur sur une Coupe du monde (13 buts en 1958), Puskas était «un joueur de classe sur et en dehors du terrain». Il l'avait lui-même affronté. «Ce jour-là, j'avais été impressionné par ce joueur».

 

«Au-delà de l'imagination»

La mémoire de Puskas est également honorée en Allemagne. Le président de la Fédération rend hommage au «meilleur gaucher du monde». «Le capitaine génial de l'équipe nationale hongroise en or des années 50 était l'une des grandes personnalités du football international», ajoute-t-il. Theo Zwanziger ne manque d'évoquer la fameuse finale de la Coupe du monde 1954 à Berne que l'Allemagne avait remporté (3-2) contre la Hongrie de Puskas. «Nos souvenirs sont étroitement liés à la légendaire finale du Mondial 1954. Depuis, nos deux équipes se sont rencontrées régulièrement. Nos anciens adversaires sont devenus des amis et ont initié pour les jeunes générations de nos deux pays une grande amitié sportive».

 

Les protagonistes de la victoire mythique 6 à 3 de la Hongrie sur l'Angleterre à Wembley en 1953 semblent toujours sous le charme du buteur, un demi-siècle plus tard : «C'était au-delà de l'imagination. Il a donné un récital de beau football. Nous n'avons plus jamais vu de joueurs comme lui», se souvient l'Anglais Tom Finney. Même admiration pour Bert Williams, gardien anglais lors de la rencontre : «Il est le meilleur attaquant que j'aie jamais vu, sans aucun doute. Le but qu'il avait mis du gauche, l'un des deux qu'ils avait marqués ce jour-là, est le plus beau qu'il m'ait jamais été donné de voir».Source l'équipe

 

Fiche d'identité:

 

FERENC PUSKAS

 

Pays: Hongrie

 

Date de décès: 17 novembre 2006

 

Date de naissance: 2 avril 1927

 

Lieu de naissance: Budapest (Hongrie)

 

Poste: Milieu

 

Palmarès

 

Titres :

Vainqueur des Jeux Olympiques en 1952 (HONGRIE)

Vainqueur de la Coupe Intercontinentale en 1960 (Real Madrid)

Vainqueur de la C1 en 1960 (Real Madrid)

Champion de Hongrie en 1950, 1952, 1954, 1955 (Kispest-Honvéd FC)

Champion d'Espagne en 1961, 1962, 1963, 1964, 1965 (Real Madrid)

Vainqueur de la Coupe d'Espagne en 1962 (Real Madrid)

Finaliste de la Coupe du Monde en 1954 (HONGRIE)

Finaliste de la C1 en 1962, 1964 (Real Madrid)

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Ca a deja été signalé mais la plupart ont eu de graves maladies ou accident donc finalement je trouve pas ca excessif, aprés si vous voulez on peut toujours changé mais ca fesait plus "brodés comme titre que "nécrologie du football" :rolleyes:

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