Gabriele Gravina, le Président de la Fédération Italienne de Football, la FIGC, est revenue sur la situation entourant la Juventus, la Super Ligue et le règlement adapté en conséquence dès la saison prochaine.
"Le football, national et international, ne peut pas faire sans la Juventus, mais les règles se doivent d’être respectées. Il est évident que je me souhaite que le Championnat italien retrouve le plus tôt possible de la sérénité. La Juventus est une réalité importante de la compétition sportive de notre pays."
"Ce qui a été mis en évidence, c’est la clarification d’une règle qui est déjà connue dans nos statuts et qui reprend à valeurs égales le respect des organisations internationales. Je fais référence au CIO, mais aussi à la FIFA et à l’UEFA."
"Toutefois, notre décision ne peut pas se baser uniquement sur des dimensions économiques, ni même être liée au bassin des tifosi. Nous devons nous baser les principes et les règles qui gouvernent notre système. Je reste convaincu que la Juve agira de manière responsable également vis-à-vis de ses supporters. Elle devra prendre la décision de respecter ces règles qui existent depuis très longtemps."
"J’ai déjà échangé avec Agnelli, selon moi, il est ouvert au dialogue. Au-delà du choix qu’il prendra, je me dois de vous dire qu’il y a des conditions préalables à respecter, pour surmonter ce moment d’éloignement dans les prises de position. Je dois défendre la compétition et non les clubs de façons individuel."
Selon vous, notre ennemie-jurée va-t-elle renoncer au projet Super Ligue au risque de se retrouver exclue de toute compétition nationale et internationale ? En effet, la Serie A sait vivre sans la Juventus, preuve en est la saison 2006/2007.
®Antony Gilles – Internazionale.fr
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