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L'ensemble est ambitieux, furieusement talentueux et taillé pour la haute compétition


Damien

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Je vous conseille de lire ceci, c'est d'une vérité :

 

Ah, l'Inter! Ça faisait si longtemps qu'on n'en parlait pas... C'est vrai, l'actualité s'étant plus souvent déplacée vers l'Espagne (Barcelone, Real Madrid, voire Valence) ou l'Angleterre (Manchester, Arsenal, Chelsea, Liverpool), que lorsque l'on revenait vers l'Italie, c'était plus souvent entre la Juventus et le Milan AC, ou à l'occasion un trublion romain (Lazio, Roma).

 

Mais l'Inter? Bah, incapable de gagner un championnat, incapable de progresser sur la durée, un club qui a passé les dix-douze dernières saisons à accumuler les signatures mirobolantes, sans jamais montrer quelque signe de stabilité, encore moins de progression.

 

L'Internazionale de Milan est devenue, au fil des années et d'une histoire jamais réécrite, pour des raisons politiques, sportives et économiques, une équipe facile à ne pas aimer... La voilà désormais aux portes d'un quart de finale de Ligue des Champions. «Seulement» un quart, pas de quoi crier au génie. Mais le troisième quart en quatre ans, ce qui place les «Nerazzurri» (en cas de qualification aujourd'hui contre l'Ajax Amsterdam après avoir fait 2-2 à l'aller aux Pays-Bas) sur le même rythme que la Juventus, c'est-à-dire bien plus régulier que le Real, Manchester, Chelsea, Barcelone ou le Bayern.

 

 

 

À la base, l'arrivée voilà deux ans de Roberto Mancini à la tête de l'équipe. Il est toujours là, en soi une révolution pour un club aux appétits «realiens» lorsqu'il s'agit d'entraîneurs (sept en cinq ans avant l'arrivée de Mancini). Mancini, 41 ans, est un personnage adoré en Italie. Ancien attaquant vedette de la Sampdoria (en duo avec Gianluca Vialli, les Gemelli del Gol, «Jumeaux du but», champions d'Italie 91 et finalistes de la Coupe des Champions 92) et de la sélection italienne, Mancini fut un joueur séduisant, fin et inspiré, toujours tourné vers le football-spectacle, l'attaque et le panache.

 

Avec Mancini, l'Inter s'est lancé dans une politique de recrutement intelligente. Avec des moyens désormais plus limités que ses concurrents directs (italiens et européens), Mancini est allé chercher des joueurs utiles, complémentaires, qui correspondent à ses idées... et pas trop chers. Des jeunes pas encore sur-cotés, des «vieux» loin d'être finis et entre les deux, des joueurs laissés de côté par ceux qui ne voient que le «star-système». C'est ainsi qu'il récupère en deux ans quatre joueurs du Real Madrid: Solari, Samuel et Figo l'été dernier, après Cambiasso en 2004. Le premier ne fait que quelques apparitions. Le deuxième est indiscutable en défense. Figo démontre qu'il possède encore pas mal de kilomètres, de dribbles et de passes ajustées dans les jambes. Cambiasso, lui, est devenu le piston de l'équipe, le milieu irremplaçable au milieu des vedettes, le genre que seul le Real Madrid refuse de garder (après Redondo et Makélélé). Il ramasse aussi un Veron usé par ses passages à Manchester et Chelsea, qui parle de retraite, mais n'a jamais aussi bien joué depuis quatre ans...

 

L'Inter de Mancini est furieusement «latin». Sud-américain! Pas moins de quinze dans l'effectif (les Argentins Cambiasso, Samuel, Solari, Burdisso, Kily Gonzalez, Julio Cruz, le «revenant» Veron et le «capitaine d'acier» Javier Zanetti, les Uruguayens Carini et Recoba, les Brésiliens Julio Cesar- qui a détrôné Toldo dans les buts-, Ze Maria et Adriano «l'Imperator», le Colombien Cordoba et le Chilien Pizarro). Ajoutez les Camerounais Womé et Ma Boumsong, le Nigerian Martins, les Serbes Mihajlovic et Stankovic... et quelques Italiens (Favalli, Coco, Materrazzi, Cristiano Zanetti, Toldo), l'ensemble est bourré de qualités. Mais présente un sacré problème au moment de définir une équipe-type et un style propre.

 

L'ensemble est ambitieux, furieusement talentueux et taillé pour la haute compétition. L'Inter n'est sans doute pas dans les «favoris» de la Ligue des Champions. Mais, comme Porto ou Liverpool ces dernières années, cette équipe possède enfin le feu sacré qui forge les plus belles épopées.

 

Source : Cyberpresse (mardi 14 mars 2006)

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Ouais c'est vrai il dise que des vérités malheureusement :(-_-<_<

 

L'Inter n'est sans doute pas dans les «favoris» de la Ligue des Champions. Mais, comme Porto ou Liverpool ces dernières années, cette équipe possède enfin le feu sacré qui forge les plus belles épopées.

j'aime bien cette phrase je pense la meme chose,2 outiders qui gagne la ligue des ch. à la suite . Pourquoi pas à nous,jamais 2 sans 3 :nikel:

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Faut deja qu'on passe Villareal,apres Arsenal,ca va etre chaud,ils jouent tres bien,ils ont meme un peu le style de l'inter,tout en passe courte,sauf que eux vont peut-etre un peu plus vite en contre-attaque,mais je prefere qu'on se prenne arsenal si on passe que la juve ou surtout le milan,avec ses vieux resultats comme 0-0 et 1-1 aux matchs aller-retour...

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il n'y a pas que des verités :bigrin:

ça ne fait pas le quatrième quart de finale en quatre ans

saison 04/05 : quart de finale vs Milan

saison 03/04 : eliminé en poule par Arsenal et Moscou

saison 02/03 : quart de finale vs Valencia puis demi contre Milan

saison 01/02 : demi finale UEFA Cup Feyenoord

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il n'y a pas que des verités :bigrin:

ça ne fait pas le quatrième quart de finale en quatre ans

saison 04/05 : quart de finale vs Milan

saison 03/04 : eliminé en poule par Arsenal et Moscou

saison 02/03 : quart de finale vs Valencia puis demi contre Milan

saison 01/02 : demi finale UEFA Cup Feyenoord

Dans l'article voici ce qui est mentionné:

Mais le troisième quart en quatre ans, ce qui place les «Nerazzurri» (en cas de qualification aujourd'hui contre l'Ajax Amsterdam après avoir fait 2-2 à l'aller aux Pays-Bas) sur le même rythme que la Juventus, c'est-à-dire bien plus régulier que le Real, Manchester, Chelsea, Barcelone ou le Bayern.

 

:nikel:

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Mais présente un sacré problème au moment de définir une équipe-type et un style propre.

 

 

Par contre je suis pas d'accord notre équipe type est bien définie et Mancio ne change pas continuellement notre 11 de départ mis à part à cause des blessures, et on peut dire qu'on a vraiment trouvé notre style de jeu surtout grace à nos 4 milieux de terrain qui forme un des meilleurs milieu du monde et nous permet d'etre surement l'équipe qui produit le meilleur jeu en Italie, il ne manque plus qu'un attaquant pour concretiser les actions créées et un vrai arrière gauche capable de dédoubler avec Deki pour centrer (Maxwell ).

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et on peut dire qu'on a vraiment trouvé notre style de jeu surtout grace à nos 4 milieux de terrain qui forment un des meilleurs milieu du monde et nous permet d'etre surement l'équipe qui produit le meilleur jeu en Italie

 

Je retire ce que j'ai dis , excusez moi pour cette erreur.

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