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Merci @Rheyou Diamweli pour la traduction, sa fait plaisir!

Spaletti...je sens en lui quelque chose qu'on avait pas auparavant, quand tu le regarde tu sens de la force et surtout de la confiance, il sait revitaliser les troupes surtout moralement.

on a a notre possession un super entraîneur, sa m'étonnerais pas qu'il devient le meilleur entraîneur de Serie A cette année.

Forza inter!! 

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  • 2 semaines plus tard...

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Milan – Internazionale.fr a le plaisir de vous proposer son premier ouvrage d’ "Il était une fois". Pour ce tout premier volet, honneur à notre entraîneur Luciano Spalletti:  

Au cours de sa vie, avant de devenir l’entraîneur de l’Inter, Luciano Spalletti faisait beaucoup de choses, le gamin rêvait de devenir footballeur, lui qui vivait dans le vignoble de Certald. Milieu de terrain, il pensait déjà comme un entraîneur, avant de songer à se pencher un peu plus à son poste en tant que joueur. Brillant entraîneur à Empoli et à Udine, il a marqué également la Russie avec son Zenit. Sans oublier le lien profond qui liera pour toujours à Rome, ses paradoxes, ses passions. Ce qu’il a laissé dans l’Histoire de la Louve ne s’oubliera pas facilement.

 

Chapitre I : L’enfance à Certaldo

Son enfance rime avec la simplicité : Ecole, ballon rond, amitié, et un contact avec la terre qui le ne quittera jamais. Même pas lorsqu’il se sera fait un nom... Ce n’est pas une surprise de savoir qu’il a investi dans "son monde", celui de l’agriculture : En passant par la vigne, les oliveraies, les chevaux, les ânes et les porcs, des ballades en forets et des heures passées sur son tracteur.

Petit à petit, Lucio, l’élève de l’école élémentaire se rapproche du monde du  football en découvrant le terrain d’Avane dans la catégorie des Poussins. Il y avait peu d’herbe, beaucoup de trous. Il était fort complice avec son frère ainé Marcello, qui ne le perdait jamais de vue football. Spalletti a grandi dans la rue, s’est inventé des buts avec des pierres et des sacs à dos, mais pour lui, il ne fallait jamais maltraiter le ballon.

Il lui arrivait même parfois de le caresser. C’est dans cet ensemble qu’est née la volonté, toujours présente de Spalletti, de travailler avec son cœur. Après être devenu l’un des entraîneurs principaux en l’Europe, il a voulu s’occuper du  terrain d’Avane, en le transformant en un centre sportif qui peut faire envier de nombreux grands clubs. Avec un gazon artificiel et tout ce que vous avez besoin pour divertir les enfants de cette région.

 

Chapitre II : Spalletti, le footballeur

Spalletti aspire à devenir un footballeur et, pour y parvenir, il arrive à intégrer le secteur jeune de la Fiorentina, son mentor et entraîneur sera Petrini. A l’époque, Lucio a énormément de cheveux et de grinta et il tombe amoureux de la Viola.  Di Antognoni et Di Moreno Roggi seront, pour une période, ses agents.

Le problème est qu’à la Fiorentina, il y a beaucoup de jeunes, même si son potentiel est supérieur. Le gamin ne se laisse pas abattre et continue à étudier sur le côté. Il ne renonce pas à sa passion. C’était le genre de gamin à manger un sandwich debout à l’extérieur de l’école, puis à partir à l’entrainement.  Il a joué au Volterrana, à Cuoiopelli. À Castelfiorentino. C’était un milieu de terrain qui a le sens du but.

Après Castelfiorentino, il passe à l’Entella. Un entraîneur souhaite le recruter, ce dernier se nomme Gian Piero Ventura. Pour Lucio, cette rencontre sera similaire à une comète stellaire. Une référence continue qui le portera sur le chemin du banc. Ventura le place à l’Entella puis au Spezia. Spalletti observe et apprend. Après un intermède en tant que joueur de Viareggio, avec le financier Mendella qui le fait rêver avant de quitter le navire, il arrive à "son" Empoli. Ce sera la dernière étape de sa carrière de footballeur. En effet, Lucio a ruiné ses genoux mais pense déjà à sa reconversion : Celle d’être entraîneur.

Ses copains d’alors se nomment Fabio Galante, surnommé le beau, Igor Protti, l’attaquant et le joyau Vincenzo Montella. Luciano se montre immédiatement de bon conseil et apporte immédiatement son aide. Il a les pieds sur terre et cela va lui permettre de "grandir".

Chapitre III : L’entraîneur d’Empoli

A Empoli, Luciano Spalletti a terminé sa carrière de joueur. Mais c’est aussi à Empoli qu’il a débuté sa carrière d’entraîneur. Dès 1994, il se sera avérait salutaire pour l’équipe qu’il a hérité en fin de Championnat, il remportera la Coupe d’Italie de la Serie C, montera en Serie B et en Serie A. Luciano a porté sur ses épaules l’Empoli.  Daniele Baldini y était déjà présent, ce dernier l’a d’ailleurs suivi à l’Inter.

Il retrouvera aussi Giovanni Martusciello, qui était milieu de terrain lors de son premier passage à Empoli. C’est aussi un signal fort. Spalletti a parcouru le monde, mais il n’oublie pas ses racines. Et ses racines sont en Toscane, à  Certaldo, à Empoli, des zones limitrophes. C’est là qu’il construit son premier laboratoire de football, et c’est également de là que vient Baldini, son associé historique.

Avec Baldini, Spalletti a eu un très grand feeling lorsqu’il a débuté en tant qu’entraîneur. Baldini était son "Capitaine". Baldini est devenu son homme de confiance et il l’a accompagné partout : A Empoli, l’endroit où tout a commencé, à Rome, à Saint-Pétersbourg et maintenant Milan. Cette fois, il y a aussi Martusciello, qui a rejoint le Groupe Spalletti en renonçant à ses ambitions de devenir entraîneur, afin de suivre Spalletti à Milan.

 

Chapitre IV : Les exploits

À Udine, on fait appel à Spalletti, à deux reprises:  La première fois, Spalletti a sauvé son équipe dès sa première tentative, en 2001, en remplaçant De Canio. En 2002, il permet au club du Frioul d’atteindre l’Europe. Par la suite, il réalisera une saison à Ancône, avant de revenir au Frioul. Il permettra première à l’Udinese d’atteindre à deux reprises la Coupe de l’Uefa, et avec l’arrivée de Di Natale, de viser la Champion’s League.

Lors de son second départ en 2005, il laisse le club dans une position historique et prestigieuse : Le Club termine la saison avec les meilleurs statistiques de son histoire et l’Udinese disputera les préliminaires de la Champion’s League. Un seul autre entraineur permettra, à l’Udinese de renouer avec la Champion’s : Francesco Guidolin.

Son second départ de l’Udinese sera vécu comme une trahison, à en juger par les huées que le Stadio du Friuli a réservé à plusieurs reprise à Lucio. La Famille Pozzo n’aura pas digéré cette trahison, mais certains adieux sont parfois et toujours compliqués.

Chapitre V : La Russie

Estimé, respecté, aimé (même parfois exagérément), critiqué, mais jamais oublié : C’est avec ce profil que débarque Luciano Spalletti à Saint-Pétersbourg, ou à San Piter, comme il l’appelle encore lui. Il remporte le titre immédiatement en 2010, mais surtout, il confirme la suprématie du club en remportant l’année suivante deux autres titres, un exploit jamais réussi auparavant et qui ne l’est plus encore actuellement. Outre le titre, il remporte la Coupe de Russie en 2010 et la Super Coupe de Russie en 2011.

Luciano remportera 4 trophées et restera dans les souvenirs des supporters, lors de la fête qui s’est déroulée au Stade  Petrovsky, où sous une température glaciale, il était en transe en torse nue. La Russie aura une place à part dans le cœur de Luciano car sa fille, Matilde, est née à Saint-Pétersbourg, le lien ne s’effacera jamais. Spalletti aura marqué l’Histoire du Zenit qui se terminera avec un licenciement, car il n’aura pas su réaliser de grandes choses sur la scène internationale.

Réussir un exploit européen n’est pas facile, actuellement Roberto Mancini tente de rendre au club, les lettres de noblesses posées par Spalletti. Mais pour le natif de Jési, il faudra avant tout gagner l’amour d’une ville lié à l’Italie de par son histoire et sa culture, mais surtout de par son amour pour Spalletti.

Chapitre VI : La Roma, je t’aime moi non plus

Juin 2005, la Famille Spalletti choisit la Roma, mais les critiques ne manquent pas. Tout comme en mai 2017, lors du jour d’adieu de Francesco Totti où l’Olimpico réservera une broncha de siffler à Luciano. Pourtant entre ces deux évènements, il y a réellement eu de l’affection entre Spalletti et la Roma. Un rapport d’amour vrai, réciproque, productif, mais avec un très faible nombre de titres : Deux Coupes d’Italie et une Super Coupe d’Italie. Il quittera la Louve la seconde fois, sur une saison record qui pourrait bien être dur à battre pour ses successeurs.

On ne doute pas que, une fois que le temps aura fait son œuvre, ce dernier aura sa place sur le podium des stratèges toscans les plus vénérés sur le banc.  Cependant, Spalletti et la Roma n’auront pas eu la chance de goûter à la gloire du Scudetto. Lors de son premier passage à la Roma, Spalletti aura dû faire face à la Grande Inter de Mancini-Mourinho. A son retour à Rome, c’est  la Grande Juve d’Allegri qui impose toujours le rythme en Serie A.

 

Chapitre VII : La Vie Nerazzurra

Son histoire à l’Inter débute à peine, mais le fil rouge est bel est bien présent : Son expérience de son intense passé s’est fait immédiatement ressentir et a été immédiatement comprise par nos joueurs. Spalletti est un maniaque de la tactique, il à une attention démesurée pour les détails, il se donne avec passion, intuition, instinct, le tout en restant posé.

Les chiffres ne mentent pas, en quatre mois, ce "condensé d’émotion" a permis à l’Inter de déjà rentrer dans l’histoire du Club, depuis l’ère des victoires à trois points : 30 points en Serie A en 12 journées de Serie A : 9 victoires, 3 nul, aucune défaite. 23 buts inscrits et 9 encaissés et le club est actuellement en zone Champion’s League.

Mais plus que tout, Luciano a permis à l’Inter de retrouver l’amour des Tifosi, l’équipe occupe une position réellement inattendue et le Giuseppe Meazza de San Siro démontre être redevenue cette forteresse extraordinaire. L’année passée nos joueurs étaient tous des "mercenaires", mais cette saison plus de 70.000 supporters sont venus soutenir l’Inter de Spalletti face au Torino.

Personne ne sait encore comment ce finira la saison, mais Luciano, de par son charisme est déjà comparé à Mourinho et à Herrera. Pour le principal intéressé, comme toujours : Le futur est à écrire, même si l’histoire s’écrit actuellement….

 

®Antony Gilles - Internazionale.fr

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Superbe concept! Bravo!

Je me permets cependant quelques remarques sur la forme et ce sans prétention aucune:

1) Faites relire le texte, il y a plusieurs erreurs de français ("Per" pour "pour", "en l'Europe", majuscule après les deux points, mauvais placement de virgule, etc).

2) Pourquoi vous mettez des guillemets? Est-ce une citation? Dans ce cas, il est nécessaire d'indiquer la source.

3) Plus de photos! Ultra utile et dynamisant dans un article biographique

A disposition pour en discuter.

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Il y a 21 heures, Foune a dit :

Superbe concept! Bravo!

Je me permets cependant quelques remarques sur la forme et ce sans prétention aucune:

2) Pourquoi vous mettez des guillemets? Est-ce une citation? Dans ce cas, il est nécessaire d'indiquer la source.

Merci pour ton rendu, j'ai corrigé les points 1 et 2 (Les  guillemets, pour moi, comme il s'agissait de raconter son histoire, j'avais mis les guillemets, mais j'ai retiré à présent) :smile:

Pour le reste, je prends bonne note, c'est un premier coup d'essai, à voir si cela peut vous plaire et le suivi :smile: 

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  • 2 semaines plus tard...

 

@Mazzuri

Pour JM, je te rappelle qu'il était titulaire au début de saison face à SPAL, Crotone puis Bologna. Sauf que l'équipe jouait mal. Le mec avait d'ailleurs la fâcheuse habitude d'aller s'excentrer et marcher sur les pieds des ailiers. On peut pas dire qu'il a pas eu sa chance  à ce moment. Puis il a été blessé deux/trois matches, le temps pour Spaletti de se rendre compte que le milieu Borja devant Vecino-Gagliardini fonctionnait mieux.

Prenons le cas de Santon, le mec était oublié de tous, pourtant Spaletti nous l'a ressorti de derrière les fagots. Parce que le mec a donné satisfaction et au final, ça fait deux matches de suite ou il joue titulaire (plus on entrée face à la Samp)

 

Je suis bien d'accord que les remplaçants doivent avoir plus de temps de jeu (je reproche aussi celà à Spaletti) , je pense surtout à  Eder, Cancelo et Brozovic. Mais faut aussi la mériter la place de remplaçant. Eder quand il rentre, il ajoute de la vitesse et du mouvement (en plus de presser sans cesse). Il sauve l'équipe face eu Torino en plus. Brozovic plante un doublé contre Benevento et en remet un ce week end à peine rentré. Ils sont forcément devant dans la hiérarchie. JM, on s'est plusieurs fois demandé sur le fofo à quoi il servait quand il rentrait en cours de jeu, et il s'est même permis l'exploit de se faire prendre de vitesse par un mec ayant 70minutes de plus que lui dans les jambes face à la Samp. Quand tu vois comment l'Inter finit souvent ces matches, dur de lancer un mec aussi peu impliqué.

On devrait le voir titulaire ce week-end (absence Vecino-Gagliardini) mais si le mec nous lâche un match dégueux, bah faudra pas s'étonner qu'il soit relégué sur le banc. Les places sur le banc se jouent aussi au mérite, y'a qu'à demander à Dalbert

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  • 3 semaines plus tard...

Dédicasse à Ausilio qui assurait que l'équipe était bonne et n'avait pas besoin du mercato.

Spalletti lui a en quelque sorte envoyé un scud dans les gencives.

"Spalletti: "Ausilio dice che la rosa è ok così? Ma deve parlare la proprietà..."

http://www.gazzetta.it/Calcio/Serie-A/Inter/16-12-2017/inter-spalletti-ausilio-dice-che-rosa-ok-cosi-ma-deve-parlare-proprieta-240263239929.shtml

En gros : Ausilio devrait rester à sa place et laisser les vrais boss prendre la parole, voire surtout réagir, car l'équipe est bonne mais quelques renforcements sont nécessaires. Tout simplement.

Mais qu'il remette sur la table le mercato d'été juste après la 1ère défaite, démontre qu'il est très clairement pas satisfait de ce qui a été fait. Et comme on le comprend... même si sa gestion du banc est douteuse, le mec fait des miracles avec l'effectif actuel

Modifié par steph'
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Des miracles si on s'en tient aux résultats mais pas au contenu proposé.

Comme tous les ans j'espère que les dirigeants seront assez intelligents pour comprendre les failles de l'équipe et recruter intelligemment mais j'entends déjà d'ici les rumeurs de milieux offensifs inutiles à X millions d'euros alors que nous avons cruellement besoin de latéraux et d'un DC de rechange (et éventuellement d'un vice-Icardi pour éviter de le cramer).

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Le contenu proposé lui-même est un miracle. Arriver aussi loin avec un milieu amorphe et 0 latéraux potable, je peux pas appeler ça autrement :laugh:.

Soit dit en passant, même si justement les latéraux sont dégueux et que c'est un d'entre eux qui nous a coulé à lui seul aujourd'hui, ce sont bien les milieux qui m'exaspèrent le plus globalement. Ni Vecino, ni Gagliardini ne sont capables d'apporter quoique ce soit, ce ne sont pas des petites récupérations de balle ici et là et quelques fulgurances une fois toutes les pleines lunes qui embelliront leurs perfs globales, l'uruguayen a connu son 1/4 d'heure de gloire pendant le derby et un peu après, et ensuite il est rapidement redevenu un noname, quant à Gagliardini... no comment. B. Valero aussi a quelques explications à fournir sur son niveau vraiment douteux depuis le début de saison...

Ça m'étonne tellement pas que Brozovic parvienne encore à se faire une place de titu' avec ces mecs... et d'ailleurs c'est pas lui que j'aurais remplacé aujourd'hui...

Modifié par steph'
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Valero ne joue que la sécurité, pratiquement aucune prise de risque, normal qu'il passe pour un bon joueur. Dans les faits, il apporte aussi peu que les autres...

Brozovic se montre infiniment plus entreprenant que lui, et qu'on ne me dise pas que c'est pas le même profil, on n'a pas demandé à avoir Valero placé devant la défense juste pour faire des passes de 6 mètres grand max. Si c'était que ça, on aurait gardé Medel.

Pour l'instant il n'a rien à voir avec l'excellent joueur qu'il était à la Fio.

Modifié par steph'
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Pour l'espagnol je m'efforce de croire que ce sont les autres milieux qui l'empêchent de donner son plein potentiel, mais il y a des situations individuelles où franchement, il est totalement à la ramasse... aujourd'hui j'ai vu une remontée de balle impressionnante (et inhabituelle) de nos joueurs en à peine 3 touchers de ballon. C'est parti d'Handanovic. Naturellement, Brozovic en faisait parti. Naturellement, Borja Valero par contre se touchait les parties pendant que tout ça se passait devant lui... c'est à lui de distribuer rapidement et efficacement le ballon, or il n'en est rien du tout...

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  • 2 semaines plus tard...

Spalletti:”Anche domani a Inter-Lazio ci saranno 60mila InterFans a San Siro. Quando vincevamo mi sentivo sempre più interista, ora che vedo la partecipazione nella sconfitta e questa reazione sono totalmente innamorato dell'Inter"

Spalletti en conférence de presse : En gros il dit qu'il se sentait déjà interiste, mais maintenant qu'il voit qu'il y aura encore 60.000 pour inter - Lazio alors qu'on revient de 3 défaite cette reaction du public le rend complément amoureux de l'Inter :wub:

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Je viens de visionner sa conférence de presse...pauvre Spalletti...seul dans la tempête, il a passé son temps à couvrir le cul de Suning avec ce non-mercato...

chapeau mon gars, on est pas dupe, on a bien compris qu’on te demande une mission quasi impossible 

même chose pour Ausilio et Sabatini...si on peut les critiquer sur les ventes (où on est décidément mauvais), on ne peut pas leur demander l’impossible dans les entrées avec les moyens du bord 

ca me fait mal de devoir batailler comme des chiens pour cette 4eme place avec des romaines indignes de nous...mais pas le choix 

courage mon gars...on est avec toi ! 

Modifié par Vic14
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Même si je ne suis pas fan de la façon dont il gère l'effectif, il a vraiment du mérite dans cette situation. On fait venir un type en lui disant "t'auras ci et t'auras ça". 7-8 mois plus tard, rien ne s'est débloqué.

J'serais pas étonné qu'en fin de saison, qu'on soit qualifié ou pas pour la C1, qu'il nous tienne un discours un peu flou sur son avenir.

ps: je viens de lire son itw, il se montre de plus en plus explicite et résigné... le pauvre

Modifié par steph'
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Le pauvre le pauvre .. Nan mais sérieux c'est Benevento qu'il coach ?

Un grand entraîneur sait sublimer son effectif, il le faisait très bien au début, à lui de gérer son groupe. Les problèmes J.Mario et Brozovic c'est à lui de trouver des solutions aussi. 

L'effectif est bon, meilleur que celui de la Fio, Lazio et le Milan, nos concurrents. Il manque juste un DC pour faire le nombre. 

 

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Y a un déclic des joueurs qui doit tout de même arriver. On l'a vu en début saison, on l'attend maintenant pour la reprise.

On a pas besoin de beaucoup de renforts, Spaletti n'est pas aussi gourmand pendant les mercatos comme peuvent l'être des Mourinho ou Guardiola. C'est donc tout à son honneur. Pour moi l'essentiel c'est un défenseur central et un milieu polyvalent. Pourquoi? D'abord parce que ce sont les secteurs où manque de joueur, ensuite pour faire jouer la concurrence et enfin éviter de se reposer sur des éléments "inutiles" ou "peu motivés" ou "pas adaptés" à notre jeu.

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