Notre Bambino s’est livré à "7", le magazine du Corriere Della Sera sur ce que représente l’Inter, lui qui est né dans la Capitale de la Mode: "Milan est ma Ville, c’est un lieu où j’ai grandi, c’est ici que j’ai tiré la première fois dans le ballon et que j’ai compris que c’est ce que je voulais faire lorsque je serai plus grand, c’est le lieu qui m’a aidé à grandir, j’ai devant moi mon passage dans les différentes équipes de jeune de l’Inter."
Comment cela s’était passé ?
"J’étais déjà Tifoso, et lorsque l’on m’a dit que c’était possible de porter le Maillot Nerazzurro je suis devenu fou de joie : Jouer pour l’équipe que tu aimes ça t’aide."
Dans ta Famille aussi, vous êtes tous interiste ?
"Mes parents n’étaient pas de grands passionnés du football. J’’ai commencé à aller au Meazza avec mon oncle et mon grand-père, j’avais 2-3 ans et c’est là qu’a commencé ma vraie passion pour l’Inter, celle que je porte en moi jusqu’à aujourd’hui, exactement avec la même intensité, la même joie."
Quel est ton souvenir le plus fort de tes premières fois au Giuseppe Meazza ?
"Les émotions les plus fortes sont arrivées lorsque l’Inter a remportés 3-4 Scudetti de suite avec Roberto Mancini et José Mourinho, il y avait des joueurs de très haut niveau."
Qui t’enthousiasmait le plus ?
"Ils sont si nombreux, mais si je ne devais en citer qu’un, je dirais Diego Milito qui, en 2010, a permis à l’Inter de remporter la Ligue des Champions avec un doublé en Finale et qui a mis sa griffe sur toutes les Victoires les plus importantes. Jouer dans l’équipe que tu supportes est une si belle chose, mais ce n’est pas simple. Ces deux dernières années, lorsque je suis revenu de Vérone, j’ai beaucoup appris de joueurs bien plus expérimenté qui sont partis."
"Et je cherche à présent à faire comprendre, à ceux qui arrivent, ce que c’est de jouer à l’Inter, ce que veut dire jouer au Giuseppe Meazza, mais par-dessus-tout, ce que c’est l’Interisme : C’est un sentiment difficile à expliquer, c’est un sentiment que tu as au fond de toi depuis tout petit, des émotions intenses que tu vis depuis les tribunes et qui, dans mon cas, tu revis sur le terrain, c’est un feu ardent qui brule en toi, cela ne se médite pas, c’est instinctif."
Quel est ton but le plus important ?
"Celui en Finale de la Super Coupe d'Italie contre le Milan, le 18 janvier 2023, l’année ne pouvait pas mieux commencer."
Et ta plus belle rencontre que tu as joué ?
"Même si elle ne s’est pas terminé comme je l’aurais voulu, la plus belle et la plus importante a été la Finale de la Ligue des Champions contre Manchester City. J’étais vraiment serein la veille et objectivement, soulever la Coupe aurait été la Cerise sur le gâteau. Mais la chose la plus importante a été la fierté que nous avons offert à nos Tifosi : Nous avions tout donné sur le terrain, on nous avait condamné avant le match et City a vraiment sué pour arracher cette victoire, et pas qu’un peu."
Ton message sur Instagram était à destination de Lukaku ?
"Pour être sincère, non, c’était pour faire comprendre que les joueurs vont et viennent, c’est sûr que ceux qui sont parti nous ont tellement donné, mais finalement, le Maillot Nerazzurro Reste : L’Inter prime sur tout! Chaque joueur qui arrive, comme ceux qui étaient là aussi l’année dernière, savent qu’ils doivent faire en sorte de porter l’Inter au sommet !"
®Antony Gilles – Internazionale.fr
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