Interviewé par Sport Mediaset, le Capitaine de l’Inter a tenu à répondre aux critiques qui lui sont tombées dessus après sa piètre prestation face à la Sampdoria : "C’est toujours pareil à l’Inter, on ne doit pas attendre que quelque chose se passe pour nous lancer des piques : Moi, je m'en fous de cela, vu le déroulement du match à Gênes, je vois le verre à moitié plein."
Les critiques à mon encontre ?
"Je dis toujours que l’important est de savoir d’où elles viennent : Si quelqu’un qui n’a jamais été gardien vient à s’exprimer, je ne suis pas content : Ce sont des choses superficielles car ils ne savent pas ce que cela veut dire être un gardien. Je m’en fous, nous n’en sommes qu’à la troisième journée : les critiques sont présentes pour tout le monde, mais nous sommes au début et je pense au lendemain."
Les deux années avec Conte ?
"J'en ai déjà assez dit, cela ne sert à rien d’approfondir. Nous avions disputé une très belle rencontre l’année dernière à Madrid : Nous aurions pu l’emporter, mais nous nous étions finalement incliné. Nous savons face à qui nous allons jouer, nous sommes l’Inter, nous sommes fort : Nous devrons faire preuve de respect vis-à-vis de l’adversaire, mais nous devrons jouer nos cartes : Il nous a manqué un rien pour nous qualifier."
"Notre objectif est de nous qualifier, l’erreur à ne pas faire est celle de récolter moins de points que les adversaires."
En période de menstruation, le Samir ?
®Antony Gilles – Internazionale.fr
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