Vendetta : nom féminin, synonyme : représailles, revanche, vengeance. Et c’est exactement le comportement adopté par Chelsea envers son ancien entraîneur Antonio Conte.
En effet, si l’Inter dialogue en sous-marin avec l’entourage du Champion du Monde, Chelsea a décidé de passer la mise à prix de 50 millions à 70 millions d’euros, et ce malgré l’arrivée de Declan Rice en provenance de West Ham. Si l’Inter n’abdique pas encore, nul doute que même en cas de cessions importantes, cette nouvelle proposition sera plus compliquée à atteindre.
Selon la presse transalpine, l’Inter pourrait tenter de proposer un prêt onéreux à 15 millions d’euros accompagné d’une obligation de rachat à 55 millions d’euros.Si cette offre vient à être acceptée, il sera primordial de parvenir à procéder à la vente des joueurs indésirables pour collecter cette manne financière.
Si N’Golo Kanté est considéré aussi fondamental que Romelu Lukaku pour Antonio Conte, il se pourrait également que le club change de stratégie, sous l’aval de l’entraîneur, pour se lancer sur une recrue plus abordable. Le salaire à percevoir ne poserait aucun problème étant donné qu’un riche contrat quadriennal à la Eriksen pourrait être proposé, par le biais du Décret Croissance.
De son côté, Chelsea est également confronté à la vente "obligatoire" de ses indésirables suite à un début de mercato actif : Fikayo Tomori, Davide Zappacosta, Emerson Palmieri, Timoue Bakayoko, …tous n’ont pour l’heure pas trouvé chaussures à leurs pied.
Mais pourquoi une telle augmentation ?
La réponse est toute simple : Personne à Chelsea n’a oublié le comportement d’Antonio Conte qui n’a pas hésité un seul instant à assigner le club en justice pour obtenir une retentissante indemnité pour "Cause Juste".
Dès lors et si l’Inter n’est pas la première concernée, force est de constater que toute négociation avec les Blues s’avèrera difficile en présence du Triple Meilleur entraîneur de l’Année consécutif de la dernière décennie.
Comprenez-vous et cautionnez-vous le comportement du club appartenant à Roman Abramovich.
®Antony Gilles - Internazionale.fr
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