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Roman Abramovitch annonce céder le contrôle du club de Chelsea

Dans un communiqué intrigant, Roman Abramovitch a annoncé prendre du recul et céder la gestion de Chelsea à la fondation caritative du club.

A chaque conflit opposant l'Europe et la Russie, son nom refait surface. Roman Abramovitch y est habitué et il sait évidemment que ses vieilles accointances avec Vladimir Poutine, même s'il ne fait plus partie du premier cercle d'oligarques proches du Kremlin, en sont la raison. Après l'invasion russe en Ukraine, jeudi, et les sanctions occidentales qui commencent à être prononcées contre Moscou, le propriétaire de Chelsea est revenu dans la discussion.

Alors qu'Abramovitch a peu à peu déserté le Royaume-Uni depuis 2018 et l'empoisonnement de l'ancien agent de renseignement russe Sergueï Skripal devenu espion britannique, son nom a résonné au parlement britannique, dès jeudi. La députée libérale-démocrate Layla Moran l'a ainsi désigné comme étant l'un des 35 « hommes-clés » de Vladimir Poutine qui devraient être sanctionnés. Abramovitch n'avait plus de visa et il n'a pu refouler le sol britannique qu'à l'automne 2021 grâce à son passeport israélien. Dans le cadre des répliques occidentales à la guerre en Ukraine, il pourrait être l'un des personnages visés, comme le demande depuis plusieurs années l'opposant Alexeï Navalny. De nombreux personnages importants, de l'économie ou de la politique russes, ont déjà été sanctionnés depuis le début de l'invasion.

Sa fille Sofia affirme son opposition à la guerre

Concernant Chelsea, l'oligarque a pris la parole, samedi, via un communiqué écrit :

"Au cours des près de 20 ans que j'ai été propriétaire du Chelsea FC, j'ai toujours considéré mon rôle comme un gardien du club, dont le travail consiste à veiller à ce que nous réussissions autant que possible aujourd'hui, ainsi qu'à construire pour l'avenir, tout en jouer un rôle positif dans nos communautés. J'ai toujours pris des décisions dans l'intérêt du Club. Je reste attaché à ces valeurs. C'est pourquoi je confie aujourd'hui aux administrateurs de la fondation caritative de Chelsea la gestion et les soins du Chelsea FC.

Je pense qu'ils sont actuellement les mieux placés pour défendre les intérêts du Club, des joueurs, du staff et des supporters."

Déclaration floue qu'il faut surtout interpréter comme une prise de distance et qui ne changera rien au quotidien du club même si Thomas Tuchel, l'entraîneur des Blues, avait expliqué vendredi que la situation du propriétaire du club « perturbait » son équipe. Il n'y a en effet aucun Russe parmi les « administrateurs de la fondation caritative de Chelsea » : ni Abramovitch, donc, ni sa garde rapprochée composée d'Eugène Shvidler, Eugène Tenenbaum ou la directrice générale Marina Granovskaia.

C'est l'Américain Bruce Buck, président depuis 2003, qui en est à la tête, le reste du board étant uniquement composé de Britanniques. Roman Abramovitch, dont la lignée maternelle est originaire de Kiev, n'a pas fait de commentaire sur la guerre en Ukraine, sans surprise, mais deux faits sont à noter : l'une de ses filles, Sofia, s'est positionnée sur Instagram contre Vladimir Poutine et la guerre ; et le musée contemporain Garage, qu'il possède à Moscou avec son ex-femme Dasha Zhukova, a annoncé sa fermeture « jusqu'à ce que la tragédie humaine et politique qui se déroule en Ukraine cesse ». Tragédie qui pourrait aussi relancer la question d'une vente de Chelsea si la situation de son propriétaire venait à se compliquer à nouveau au Royaume-Uni. Abramovitch, qui a déjà été ouvert à cette idée, estime le prix d'une vente du club à plus de trois milliards d'euros. Aux dernières nouvelles, personne, malgré plusieurs intéressés, n'a jamais été en mesure de lui faire une telle offre.

Source l'Equipe.

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Il y a 18 heures, alex_j a dit :

Roman Abramovitch annonce céder le contrôle du club de Chelsea

Dans un communiqué intrigant, Roman Abramovitch a annoncé prendre du recul et céder la gestion de Chelsea à la fondation caritative du club.

A chaque conflit opposant l'Europe et la Russie, son nom refait surface. Roman Abramovitch y est habitué et il sait évidemment que ses vieilles accointances avec Vladimir Poutine, même s'il ne fait plus partie du premier cercle d'oligarques proches du Kremlin, en sont la raison. Après l'invasion russe en Ukraine, jeudi, et les sanctions occidentales qui commencent à être prononcées contre Moscou, le propriétaire de Chelsea est revenu dans la discussion.

Alors qu'Abramovitch a peu à peu déserté le Royaume-Uni depuis 2018 et l'empoisonnement de l'ancien agent de renseignement russe Sergueï Skripal devenu espion britannique, son nom a résonné au parlement britannique, dès jeudi. La députée libérale-démocrate Layla Moran l'a ainsi désigné comme étant l'un des 35 « hommes-clés » de Vladimir Poutine qui devraient être sanctionnés. Abramovitch n'avait plus de visa et il n'a pu refouler le sol britannique qu'à l'automne 2021 grâce à son passeport israélien. Dans le cadre des répliques occidentales à la guerre en Ukraine, il pourrait être l'un des personnages visés, comme le demande depuis plusieurs années l'opposant Alexeï Navalny. De nombreux personnages importants, de l'économie ou de la politique russes, ont déjà été sanctionnés depuis le début de l'invasion.

Sa fille Sofia affirme son opposition à la guerre

Concernant Chelsea, l'oligarque a pris la parole, samedi, via un communiqué écrit :

"Au cours des près de 20 ans que j'ai été propriétaire du Chelsea FC, j'ai toujours considéré mon rôle comme un gardien du club, dont le travail consiste à veiller à ce que nous réussissions autant que possible aujourd'hui, ainsi qu'à construire pour l'avenir, tout en jouer un rôle positif dans nos communautés. J'ai toujours pris des décisions dans l'intérêt du Club. Je reste attaché à ces valeurs. C'est pourquoi je confie aujourd'hui aux administrateurs de la fondation caritative de Chelsea la gestion et les soins du Chelsea FC.

Je pense qu'ils sont actuellement les mieux placés pour défendre les intérêts du Club, des joueurs, du staff et des supporters."

Déclaration floue qu'il faut surtout interpréter comme une prise de distance et qui ne changera rien au quotidien du club même si Thomas Tuchel, l'entraîneur des Blues, avait expliqué vendredi que la situation du propriétaire du club « perturbait » son équipe. Il n'y a en effet aucun Russe parmi les « administrateurs de la fondation caritative de Chelsea » : ni Abramovitch, donc, ni sa garde rapprochée composée d'Eugène Shvidler, Eugène Tenenbaum ou la directrice générale Marina Granovskaia.

C'est l'Américain Bruce Buck, président depuis 2003, qui en est à la tête, le reste du board étant uniquement composé de Britanniques. Roman Abramovitch, dont la lignée maternelle est originaire de Kiev, n'a pas fait de commentaire sur la guerre en Ukraine, sans surprise, mais deux faits sont à noter : l'une de ses filles, Sofia, s'est positionnée sur Instagram contre Vladimir Poutine et la guerre ; et le musée contemporain Garage, qu'il possède à Moscou avec son ex-femme Dasha Zhukova, a annoncé sa fermeture « jusqu'à ce que la tragédie humaine et politique qui se déroule en Ukraine cesse ». Tragédie qui pourrait aussi relancer la question d'une vente de Chelsea si la situation de son propriétaire venait à se compliquer à nouveau au Royaume-Uni. Abramovitch, qui a déjà été ouvert à cette idée, estime le prix d'une vente du club à plus de trois milliards d'euros. Aux dernières nouvelles, personne, malgré plusieurs intéressés, n'a jamais été en mesure de lui faire une telle offre.

Source l'Equipe.

Interdiction de territoire pour lui en + de plein d'autres paramètre complexes, il se retire pour l'instant des affaires du club au profit de Marina Granovskaïa (qui avait déjà énormément de pouvoir) et de Petr Cech

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Roman Abramovitch, le riche propriétaire de Chelsea sous les projecteurs

Le propriétaire de Chelsea, qui s'est mis en retrait de la gestion du club ce week-end, connaît des jours mouvementés. Sous la menace de sanctions de par ses liens avec le pouvoir russe, il a été en parallèle sollicité par l'Ukraine pour participer aux pourparlers. Ce qu'il a semble-t-il accepté.

 

Où est-il, Roman Abramovitch, à l'heure où les Ukrainiens se terrent dans les sous-sols, prennent les armes et préparent cocktails molotov et barricades pour résister à l'armée russe ? Un jeune Américain a lancé sur Twitter Russian Oligarch Jets (@RUOligarchJets) et bien malin sera celui qui devinera lequel des six avions privés du propriétaire de Chelsea, suivis à la trace par cet algorithme en accès libre, le balade vraiment. L'un a atterri à Riga, en Lettonie, dimanche soir, tandis qu'un autre survolait Moscou, lundi. La presse israélienne croit savoir qu'Abramovitch est en Biélorussie. « Pas de commentaire sur cela », fait savoir un porte-parole de l'oligarque, qui confirme malgré tout une anomalie dans la vie récente de son patron : l'apolitique Abramovitch « essaye d'aider » dans le conflit qui oppose l'Ukraine et la Russie.

Envahie, bombardée, mise à mal par son voisin sur ordre de Vladimir Poutine, l'Ukraine, via l'entourage du président Volodymyr Zelensky, a en effet demandé au milliardaire (55 ans) d'aider dans les pourparlers pour un cessez-le-feu. « Le gouvernement (ukrainien) voulait trouver un Russe désirant aider pour la paix, a expliqué au Jerusalem Post un proche du président, le cinéaste Alexandre Rodnyansky. Roman a répondu favorablement à cet appel. » L'avenir permettra de déterminer pour qui et pourquoi a-t-il accepté. Toute sa vie, Abramovitch s'est évertué à s'éloigner de la politique à grande échelle, malgré un poste de gouverneur (qu'il n'est plus) d'une région sans grand enjeu stratégique. Plusieurs questions se posent, surtout une : quelles sont ses motivations ?

 

Il partage des liens avec la Russie et l'Ukraine

L'oligarque, dont la fortune, qui s'élève à environ 15 milliards d'euros aujourd'hui, s'est construite non sans bizarreries et accointances politiques dans les années 1990, n'a jamais trahi le Kremlin. À la fin de cette même décennie, il fut par exemple l'un de ceux à financer la première campagne électorale de Poutine, dont il a toujours été plus ou moins proche. Ce sont ces connexions qui lui valent d'être une cible à l'heure de prononcer des sanctions contre la Russie et ses hommes forts : au parlement britannique, jeudi, il a été désigné parmi les 35 personnes clés de Poutine qui devraient être sanctionnées et Alexeï Navalny, l'opposant le plus farouche au président russe, a placé il y a déjà longtemps Abramovitch en haut de sa liste des gens sur lesquels faire pression. En 2018, les tensions diplomatiques entre le Royaume-Uni et la Russie lui avaient coûté son visa (il avait retiré sa demande dans un climat tendu) et il n'a remis les pieds à Londres qu'en 2021, après avoir obtenu la nationalité israélienne.

« Les Ukrainiens ont demandé de l'aide et il a accepté », nous a seulement confié son entourage, lundi, pour expliquer la position du patron de Chelsea. Si la posture d'« apporteur de paix » lui conviendrait sûrement - comme une façade pour éviter les sanctions, par exemple -, et qu'il faut relativiser son importance dans les discussions pour le moment, Abramovitch partage de réels liens avec les deux pays. Ils sont évidents pour la Russie et le Kremlin, dont l'historique avec l'intéressé n'est plus à démontrer (c'est Abramovitch qui détenait la compagnie pétrolière Sibneft, devenue Gazprom lorsqu'il l'a vendue à l'État).

Ils sont liés au passé de l'oligarque pour l'Ukraine. Abramovitch, de confession juive, est proche des communautés religieuses dont il est un grand mécène, et une partie de sa famille, côté maternel, est originaire de Kiev. En 1941, lors de l'invasion de l'armée allemande, sa grand-mère et sa mère ont fui vers la Russie tandis que le reste de sa famille y serait décédé.

Ce rôle de « médiateur » est en tout cas un autre rebondissement pour Abramovitch depuis l'invasion russe.

Au-delà des sanctions, et comme expliqué par L'Équipe ces derniers jours, l'une de ses filles Sofia s'est affichée sur les réseaux sociaux contre Vladimir Poutine et la guerre, chose peu évidente pour une enfant d'oligarque proche du pouvoir. Et son musée d'art contemporain à Moscou, Garage, qu'il co-détient avec son ex-femme, a fermé ses portes « jusqu'à ce que la tragédie humaine et politique qui se déroule en Ukraine cesse ».

 

La gestion de Chelsea plus complexe que prévu ?

À l'inverse de plusieurs oligarques, comme Mikhaïl Friedman ou Oleg Deripaska, qui ont étonné les observateurs spécialisés par leur position contre la guerre, Abramovitch ne commente pas la situation directement. Seul Chelsea a communiqué, dimanche, avant la finale de Coupe de la Ligue perdue face à Liverpool (0-0, 10-11 aux t.a.b.), sans que cela ne trahisse la position de son « boss » depuis 2003 : « La situation en Ukraine est horrible et dévastatrice. Les pensées du Chelsea FC vont à tout le monde en Ukraine. Chacun prie pour la paix. »

La veille, le propriétaire du club avait annoncé la cession de la gestion du club « aux administrateurs de la fondation caritative de Chelsea », dont aucun n'est Russe. Une décision sans grande répercussion, tant au niveau légal que dans le quotidien du club, qui reste détenu par Abramovitch et géré par la directrice générale Marina Granovskaia, fidèle du milliardaire, et l'ancien gardien Petr Cech. Les deux étaient présents à Wembley, dimanche, et le domaine sportif ne devrait pas être trop bouleversé par les remous.

Lundi, le Telegraph écrivait malgré tout que la situation est complexe : sans préciser de qui il s'agit, deux des « administrateurs » pourraient démissionner. Ils sont six au total : l'historique président Bruce Buck, dont on imagine qu'il ne fait pas partie des potentiels partants ; l'entraîneure de l'équipe féminine Emma Hayes ; le directeur des finances du club Paul Ramos ; l'avocat d'affaires John Devine ; le directeur du groupe antidiscrimination FARE Piara Powar ; le président du Comité olympique britannique sir Hugh Robertson.

« Des problèmes de conflits d'intérêts ont été exprimés ainsi que des inquiétudes plus larges quant à savoir si la gestion d'un club dans le cadre de la fondation pourrait être compatible avec la loi sur les associations caritatives », écrit le quotidien britannique. Qu'importe où il se trouve, l'emploi du temps de l'oligarque est bouleversé.

 

Pour aller plus loin:

Ceux qui sont intéressés peuvent lire ceci

https://www.lequipe.fr/explore/wf49-roman-abramovitch/

 

Source l'Equipe.

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"Vous devez arrêter!" : Tuchel perd son sang-froid face aux questions sur la guerre en Russie et Abramovich

 

Thomas Tuchel a exhorté les journalistes à cesser de lui poser des questions sur l'invasion en Ukraine et sur le projet de Roman Abramovich de confier l'intendance de Chelsea à la fondation caritative du club.

 

Le manager de Chelsea tenait une conférence de presse avant le match de la FA Cup Mercredi à Luton Town et a perdu son sang-froid après avoir été pressé pour ses réflexions sur la guerre en Ukraine. Tuchel avait été confronté à plusieurs questions sur Abramovich, qui avait annoncé qu'il renonçait à la direction de Chelsea après un appel du Parlement pour qu'il soit sanctionné, et il a craqué après qu'on lui ait demandé s'il espérait que le propriétaire russe pourrait aider à négocier entre l'Ukraine et Russie.

"Écoutez, écoutez, écoutez, vous devez arrêter. Je ne suis pas un politicien. Faut arrêter, franchement. Je ne peux que le répéter. Et je me sens même mal de le répéter car je n'ai jamais connu la guerre. Alors même pour en parler je me sens mal parce que je suis très privilégié. Je suis assis ici en paix et je fais du mieux que je peux, mais vous devez arrêter de me poser ces questions. Je n'ai pas de réponses pour vous."

La décision d'Abramovich de confier l'intendance de Chelsea aux administrateurs de la fondation pourrait faire croire qu'une vente est possible et qu'il pourrait y avoir des offres cette semaine. Les intéressés pourraient chercher à agir rapidement au cas où Abramovich serait sanctionné par le gouvernement britannique, auquel cas il est peu probable qu'une vente soit autorisée. Abramovich a contesté avec véhémence les rapports suggérant sa prétendue proximité avec Vladimir Poutine et la Russie ou qu'il ait fait quoi qui soit mérité d'une sanction.

Chelsea a maintenu que le club n'était pas à vendre. Il n'y a aucune suggestion qu'Abramovich soit sur le point d'appeler les 1,5 milliard de livres sterling de prêts qu'il a accordés au club depuis l'achat de Chelsea en 2003. L'homme d'affaires américain Todd Boehly et le président d'Ineos, Sir Jim Ratcliffe, auraient tenté d'acheter le club dans le passé.

On a demandé à Tuchel s'il avait un message pour les fans de Chelsea sur l'incertitude au club. Certains administrateurs sont préoccupés par le plan d'Abramovich et la Charity Commission a contacté la fondation pour plus d'informations après qu'un rapport d'incident grave ait été signalé à l'organisme de réglementation. Les administrateurs voudront probablement mettre en place une politique d'indemnisation s'ils veulent continuer avec le changement proposé à la structure du club.

"Je ne suis pas sûr d'être la personne qui devrait donner des messages aux fans sur autre chose que le sport. Nous essayons d'être calmes ici, je suis calme et nous sommes calmes au coeur d'une tempête ou d'un bruit autour de nous que nous ne pouvons pas contrôler et dont nous ne sommes pas responsables. En fin de compte, il est préférable de rester calme et de se concentrer sur ce que nous aimons et faisons. C'est du sport."

"Je pense que nous avons le droit de nous concentrer sur le sport, les joueurs ont le droit d'être concentrés et c'est ce que nous pouvons dire aux fans. Je pense que c'est ce que les fans ont vu Dimanche."

"Il y a une grosse situation là-bas et il y avait toujours un gros engagement de la part des joueurs, des clubs et des fans. Tout le monde est conscient de choses plus importantes et la situation en Ukraine est de loin plus importante. On est quand même arrivés avec deux équipes fortes pour faire un match fantastique. Nous sommes arrivés encore pour divertir les fans avec un match bourré d'efforts et de divertissement maximum. Je ne sais pas ce que nous pourrions faire de différent."

Tuchel hésitait à dire si le fait d'être la propriété d'Abramovich était un problème pour Chelsea. "Je dois dire que c'est un peu trop pour moi de répondre. Je ne suis au courant d'aucun détail, et je ne suis pas au courant de toute la situation. Nous sommes tous d'accord qu'il y a des situations beaucoup, beaucoup plus importantes que le football, cela ne changera jamais. Et des situations comme la guerre sont bien sûr tellement plus importantes. Mais le rôle de M. Abramovich n'est pas à moi de le commenter, parce que je n'en sais tout simplement pas assez à ce sujet."

 

Traduction via The Guardian

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